Renouveau! J'ai tellement d'identités créées un peu partout qu'en essayant de m'ouvrir un blog, j'ai vu que j'avais déjà un compte d'ouvert. Le titre est encore à l'essai, tiré rapidement d'après le titre de mon ancien site, Inspiradive. Vous vous demandez encore d'où cedit titre venait? Des profondeurs de mes cellules cervicales....
Non, sans blague, ça date de longtemps ce site-là. Inspiradive, là où l'inspiration jaillit en pleine nuit. Songé, non? Les turpilitudes d'une ado jadis de 14 ans. L'an 2000, ça parait loin, non? Vous rappellez-vous du temps où tous craignaient tant le Y2K, parce que la terre allait exploser, nous allions être anéantis par les extra-terrestres, ou autres conneries du genre? Je m'en rappelle, moi. J'étais assise devant mon ordi, le nouvel an est arrivé. Pouf, comme si de rien n'était. Ça n'avait strictement rien changé à ma vie, tout comme maintenant, à chaque année, le nouvel an arrive sans qu'un quelconque changement se produise. Depuis ce jour si lointain où j'ai décidé de me mettre au HTML, par le biais d'un livre innocemment emprunté à la bibliothèque qui apprenait comment faire des pages web, alors que je n'avais même pas Internet (ironique, non?), j'ai tracé mon parcours sur la toile. Et ça a abouti où? Ici. Aujourd'hui. Carpe Diem.
Vous ne savez pas qui je suis? Voici. En bref...
Étudiante. 17 ans. Parents divorcés. Frère de 14 ans. Cégepienne en sciences humaines, administration. Montréalaise. Québécoise. Une job à temps partiel. Une autre d'été. Rêve du jour où elle deviendra grande. Amoureuse. Un ex. Un chum. Plein de souvenirs. D'autres à venir. Pleine de rêves. Pleine d'ambition. Des choix à faire, des décisions à prendre. Indépendante. Pasionnée. Intellectuelle.
Et plein d'autres choses. À découvrir.
Tiens. Une pas pire intro, ça. Inspirée d'ailleurs, mais propre à moi. Parce que je suis unique. Comme tout le monde, non? J'imagine que certains qui me liront me connaîtrons déjà. D'autres, non. Pour simplifier les choses, je vais résumer mon état actuel : dans le jus de fin de session. Non seulement j'ai des examens par-dessus la tête, mais en ce moment, au lieu de faire du n'importe quoi n'importe où, je devrais être en train d'étudier pour les prochains examens. En plus de ça, j'ai la job, où je m'efforce de faire plein d'heures malgré la charge de travail parce que ça me tente pas de me priver par manque de moyens financiers, et mon chum, qui ne reproche parfois ma fatigue. J'ai hâte que la session soit finie. Passer des journées couch-patatoe, où je peux consacrer mon temps à écouter tous les DVDs que j'achète, mais que je n'ai pas le temps de voir. Ah, oui, je collectionne des DVDs aussi. Elle est ici. S'en vient pas pire, j'suis presque à 100.
Quoique finalement, mon été risque d'être chargé. Je travaille présentement à temps partiel dans un Léon. Vous savez pas ce que c'est? Ce magasin de meubles, qui passe des annonces vraiment pourrites. Ça fait deux ans que j'suis là. J'suis tannée, j'ai le goût de changement, mais je n'arrive pas à me trouver mieux. Des jobs d'étudiants, ça court les rues, mais c'est du pareil au même. Salaire minimum, pas de conditions de travail. Tant qu'à garder mon ancienneté, et travailler dans un environnement que j'aime bien, pourquoi je changerais? Comme tous les autres étudiants, je voulais me trouver une job d'été à temps plein du lundi au vendredi, 9-5. Job de bureau quotienne, routinière, tout ce qu'il y a de plus plate, quoi? Ça m'aurait convenu. Avoir mes fins de semaine, profiter du soleil. Le problème, c'est toujours après. Suis pas du genre à changer de jobs comme certains changent de p'tites culottes, moi. J'préfère la stabilité. Pque le changement, ça me stresse. Et j'aime pas stresser. Au minimum, du moins. Parce que malgré tout, j'ai de l'ambition, et j'hésite pas à sauter sur une bonne occasion quand elle se présente. Pour en revenir à la job, j'ai trouvé l'idéal. Une ditejob de bureau, 8-4, temps partiel par contre, 3 jours semaine. Bien payée. Pour une banque. Celle où ma mère travaille (vive les plugs!), en fait. Ce qui fait que je n'ai pas passé d'entrevue, je n'ai même pas encore mis les pieds à l'endroit où j'allais travailler! Ils m'ont appellée, et m'ont dit que j'avais la job. Ont établi les dates de début et de fin. Je me présente là le 27 mai. Premier jour. Je deviendrais grande.
Je vais donc pouvoir garder ma job actuelle, travailler les fin de semaine. Avec un peu de change, je ne vais faire QUE 6 jours semaine. Mais je n'en sais rien, parce qu'à ma job, il y a pénurie de staff. Après avoir passé trois mois overstaff, ils en ont renvoyé deux, une a été mutée ailleurs, et une est partie après avoir abouti ses études. Elle s'est trouvée une job dans son domaine. Alors aujourd'hui, ben on manque de personnel. Et ils seront probablement trop cons pour engager. Alors j'vais p'tete me ramasser avec du 7 jours sur 7. Je me remonte le moral en me disant qu'au moins, par rapport à l'école, je rapporte pas de travail à la maison. Le soir, ça sera détente totale. Just me. Myself. And him.
Non, sans blague, ça date de longtemps ce site-là. Inspiradive, là où l'inspiration jaillit en pleine nuit. Songé, non? Les turpilitudes d'une ado jadis de 14 ans. L'an 2000, ça parait loin, non? Vous rappellez-vous du temps où tous craignaient tant le Y2K, parce que la terre allait exploser, nous allions être anéantis par les extra-terrestres, ou autres conneries du genre? Je m'en rappelle, moi. J'étais assise devant mon ordi, le nouvel an est arrivé. Pouf, comme si de rien n'était. Ça n'avait strictement rien changé à ma vie, tout comme maintenant, à chaque année, le nouvel an arrive sans qu'un quelconque changement se produise. Depuis ce jour si lointain où j'ai décidé de me mettre au HTML, par le biais d'un livre innocemment emprunté à la bibliothèque qui apprenait comment faire des pages web, alors que je n'avais même pas Internet (ironique, non?), j'ai tracé mon parcours sur la toile. Et ça a abouti où? Ici. Aujourd'hui. Carpe Diem.
Vous ne savez pas qui je suis? Voici. En bref...
Étudiante. 17 ans. Parents divorcés. Frère de 14 ans. Cégepienne en sciences humaines, administration. Montréalaise. Québécoise. Une job à temps partiel. Une autre d'été. Rêve du jour où elle deviendra grande. Amoureuse. Un ex. Un chum. Plein de souvenirs. D'autres à venir. Pleine de rêves. Pleine d'ambition. Des choix à faire, des décisions à prendre. Indépendante. Pasionnée. Intellectuelle.
Et plein d'autres choses. À découvrir.
Tiens. Une pas pire intro, ça. Inspirée d'ailleurs, mais propre à moi. Parce que je suis unique. Comme tout le monde, non? J'imagine que certains qui me liront me connaîtrons déjà. D'autres, non. Pour simplifier les choses, je vais résumer mon état actuel : dans le jus de fin de session. Non seulement j'ai des examens par-dessus la tête, mais en ce moment, au lieu de faire du n'importe quoi n'importe où, je devrais être en train d'étudier pour les prochains examens. En plus de ça, j'ai la job, où je m'efforce de faire plein d'heures malgré la charge de travail parce que ça me tente pas de me priver par manque de moyens financiers, et mon chum, qui ne reproche parfois ma fatigue. J'ai hâte que la session soit finie. Passer des journées couch-patatoe, où je peux consacrer mon temps à écouter tous les DVDs que j'achète, mais que je n'ai pas le temps de voir. Ah, oui, je collectionne des DVDs aussi. Elle est ici. S'en vient pas pire, j'suis presque à 100.
Quoique finalement, mon été risque d'être chargé. Je travaille présentement à temps partiel dans un Léon. Vous savez pas ce que c'est? Ce magasin de meubles, qui passe des annonces vraiment pourrites. Ça fait deux ans que j'suis là. J'suis tannée, j'ai le goût de changement, mais je n'arrive pas à me trouver mieux. Des jobs d'étudiants, ça court les rues, mais c'est du pareil au même. Salaire minimum, pas de conditions de travail. Tant qu'à garder mon ancienneté, et travailler dans un environnement que j'aime bien, pourquoi je changerais? Comme tous les autres étudiants, je voulais me trouver une job d'été à temps plein du lundi au vendredi, 9-5. Job de bureau quotienne, routinière, tout ce qu'il y a de plus plate, quoi? Ça m'aurait convenu. Avoir mes fins de semaine, profiter du soleil. Le problème, c'est toujours après. Suis pas du genre à changer de jobs comme certains changent de p'tites culottes, moi. J'préfère la stabilité. Pque le changement, ça me stresse. Et j'aime pas stresser. Au minimum, du moins. Parce que malgré tout, j'ai de l'ambition, et j'hésite pas à sauter sur une bonne occasion quand elle se présente. Pour en revenir à la job, j'ai trouvé l'idéal. Une ditejob de bureau, 8-4, temps partiel par contre, 3 jours semaine. Bien payée. Pour une banque. Celle où ma mère travaille (vive les plugs!), en fait. Ce qui fait que je n'ai pas passé d'entrevue, je n'ai même pas encore mis les pieds à l'endroit où j'allais travailler! Ils m'ont appellée, et m'ont dit que j'avais la job. Ont établi les dates de début et de fin. Je me présente là le 27 mai. Premier jour. Je deviendrais grande.
Je vais donc pouvoir garder ma job actuelle, travailler les fin de semaine. Avec un peu de change, je ne vais faire QUE 6 jours semaine. Mais je n'en sais rien, parce qu'à ma job, il y a pénurie de staff. Après avoir passé trois mois overstaff, ils en ont renvoyé deux, une a été mutée ailleurs, et une est partie après avoir abouti ses études. Elle s'est trouvée une job dans son domaine. Alors aujourd'hui, ben on manque de personnel. Et ils seront probablement trop cons pour engager. Alors j'vais p'tete me ramasser avec du 7 jours sur 7. Je me remonte le moral en me disant qu'au moins, par rapport à l'école, je rapporte pas de travail à la maison. Le soir, ça sera détente totale. Just me. Myself. And him.
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