Libération
Je viens de terminer mon dernier examen aujourd'hui. Fini le stress intense. Il ne me reste plus que l'Épreuve ministérielle de français mercredi matin, mais bon je ne m'en fais pas trop avec ça.
Je peux finalement redevenir moi-même. Recommencer à vivre. À penser. À aller au cinoche, ou à magasiner. Surtout, acheter mes cadeaux de Noel. C'est fou comme l'école déshumanise... En fait, toute occupation qui prends trop de temps. Le travail aussi fait cet effet-là. Je me sentais comme pendant l'été passé, où je travaillais 7 jours sur 7...
Quoiqu'il en soit, je vais me coucher. Je travaille ce soir à minuit...
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J'suis un peu nostalgique... J'aime bien mes nouvelles tâches et responsabilités à ma job.. Mais ma boss m'énerve un peu. Elle est nouvelle comme moi, pas beaucoup plus de qualifications en tant que tel. Et elle veut déjà tout contrôler... C'est le genre de personne qui ferait bien la job, mais trop perfectionniste puisqu'elle doit toujours tout savoir, tout contrôler. Par rapport aux autres équipes de fin de semaine (on est toujours deux par chiffre), les directeurs adjoints disent à l'analyste quel programme travailler, et c'est tout. Ils dont leur job, un point c'est tout... Moi la fille, elle veut que je travaille de sa manière, pis patati patata... J'aime pas tant avoir des supérieurs qui se croient trop supérieurs. Encore moins quand ils ont pas les connaissances pour le faire. Quand j'ai été engagée, le directeur du département me disait que je devrais apprendre à aiguiser mon sens du jugement, parce que justement le directeur adjoint ne serait pas toujours disponible pour m'aider... Bien elle, c'est le contraire qu'elle fait; je suis le genre de personne qui sait ce qu'elle a à faire, j'ai pas besoin de quelqu'un sans cesse dans sur mon dos, à me dire comment faire ce que j'ai à faire...
Je m'ennuie déjà de mon ancienne job. J'y retournerais pas pour autant, surtout pas compte tenu des différences de salaires, mais bon je me sens comme si je quittais ma deuxième famille... C'est la première job que j'ai eu dans ma vie, et j'y suis restée pendant deux ans et demi : depuis que j'ai 15 ans que je suis là! Je me sens comme si j'y avais grandi... Ils me niaisaient (gentiment bien sûr) parce que j'avais seulement 15 ans, et aujourd'hui j'en ai 18... J'y étais indispensable, et je me le fais encore dire aujourd'hui, particulièrement depuis qu'une autre a pris mon département en charge la fin de semaine, et qu'elle fait un bien piètre travail. C'est qu'elle a donné sa démission elle-aussi, mais reste pendant encore un mois... La différence, c'est qu'elle, comme beaucoup de gens que je connais, slackent parce qu'ils savent qu'ils ont une autre job ailleurs. Tant qu'à pas te forcer, rentre pas!! J'trouve que c'est un manque total de respect que de faire ça... J'en ai vu tellement que pendant leurs deux semaines de préavis, arrivaient en retard, se fouttaient de leur job, ou rentraient carrément pas! Un des superviseurs avec qui je m'entends bien m'a dit qu'il trouvait ma manière de quitter beaucoup plus professionnelle que la sienne... C'est sûr! Je respecte les gens avec qui j'ai travaillé, et l'entreprise aussi. Je m'y plaisais bien, la seule raison qui m'a poussée à partir, c'est réellement le salaire... Enfin. Ils vont me manquer (je m'en vais seulement en janvier... lol). C'est sûr que je vais retourner les voir souvent :-)
Je peux finalement redevenir moi-même. Recommencer à vivre. À penser. À aller au cinoche, ou à magasiner. Surtout, acheter mes cadeaux de Noel. C'est fou comme l'école déshumanise... En fait, toute occupation qui prends trop de temps. Le travail aussi fait cet effet-là. Je me sentais comme pendant l'été passé, où je travaillais 7 jours sur 7...
Quoiqu'il en soit, je vais me coucher. Je travaille ce soir à minuit...
J'suis un peu nostalgique... J'aime bien mes nouvelles tâches et responsabilités à ma job.. Mais ma boss m'énerve un peu. Elle est nouvelle comme moi, pas beaucoup plus de qualifications en tant que tel. Et elle veut déjà tout contrôler... C'est le genre de personne qui ferait bien la job, mais trop perfectionniste puisqu'elle doit toujours tout savoir, tout contrôler. Par rapport aux autres équipes de fin de semaine (on est toujours deux par chiffre), les directeurs adjoints disent à l'analyste quel programme travailler, et c'est tout. Ils dont leur job, un point c'est tout... Moi la fille, elle veut que je travaille de sa manière, pis patati patata... J'aime pas tant avoir des supérieurs qui se croient trop supérieurs. Encore moins quand ils ont pas les connaissances pour le faire. Quand j'ai été engagée, le directeur du département me disait que je devrais apprendre à aiguiser mon sens du jugement, parce que justement le directeur adjoint ne serait pas toujours disponible pour m'aider... Bien elle, c'est le contraire qu'elle fait; je suis le genre de personne qui sait ce qu'elle a à faire, j'ai pas besoin de quelqu'un sans cesse dans sur mon dos, à me dire comment faire ce que j'ai à faire...
Je m'ennuie déjà de mon ancienne job. J'y retournerais pas pour autant, surtout pas compte tenu des différences de salaires, mais bon je me sens comme si je quittais ma deuxième famille... C'est la première job que j'ai eu dans ma vie, et j'y suis restée pendant deux ans et demi : depuis que j'ai 15 ans que je suis là! Je me sens comme si j'y avais grandi... Ils me niaisaient (gentiment bien sûr) parce que j'avais seulement 15 ans, et aujourd'hui j'en ai 18... J'y étais indispensable, et je me le fais encore dire aujourd'hui, particulièrement depuis qu'une autre a pris mon département en charge la fin de semaine, et qu'elle fait un bien piètre travail. C'est qu'elle a donné sa démission elle-aussi, mais reste pendant encore un mois... La différence, c'est qu'elle, comme beaucoup de gens que je connais, slackent parce qu'ils savent qu'ils ont une autre job ailleurs. Tant qu'à pas te forcer, rentre pas!! J'trouve que c'est un manque total de respect que de faire ça... J'en ai vu tellement que pendant leurs deux semaines de préavis, arrivaient en retard, se fouttaient de leur job, ou rentraient carrément pas! Un des superviseurs avec qui je m'entends bien m'a dit qu'il trouvait ma manière de quitter beaucoup plus professionnelle que la sienne... C'est sûr! Je respecte les gens avec qui j'ai travaillé, et l'entreprise aussi. Je m'y plaisais bien, la seule raison qui m'a poussée à partir, c'est réellement le salaire... Enfin. Ils vont me manquer (je m'en vais seulement en janvier... lol). C'est sûr que je vais retourner les voir souvent :-)
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