Malchance
Pas une journée super agréable aujourd'hui.
D'abord en lisant La Presse, j'ai appris que je me suis fait charger des frais que je n'étais supposée payer. Il y a une semaine, le lendemain de la St-Valentin, à cause d'un 'accident', j'ai du prendre la pillule du lendemain ; ne voulant pas attendre à la clinique, je me suis présentée en pharmacie directement pour savoir s'ils pouvaient me la donner sans prescription. J'ai alors appris qu'ils avaient maintenant la possibilité de le faire depuis quelques temps, moyennant des frais de 25$ de consultation. Faisant ma paresseuse, comme on était la fin de semaine, j'ai accepté à contrecoeur de payer les frais, en espérant qu'ils soient remboursés par l'assurance.
Voilà qu'en fin de semaine dans le journal, paraissait dans une rubrique sur les pharmaciens, qui nous informait que la pillule du lendemain pouvait être prescrite en pharmacie depuis 2001, et que depuis décembre 2003 les frais de consultation étaient couverts par la Régie de l'Assurance-Maladie. J'étais vraiment fâchée, d'autant plus qu'on a tellement l'habitude de se faire avoir par les marchands (magasins), qui penserait avoir à faire un recours contre une pharmacie?!
Autre sujet, j'ai fais mes rapports d'impôts ainsi que ceux de mon chum ce soir, et réelle déception. Moi qui m'attendait à retirer plus ou moins 500$, je me retrouve à devoir 250$ au provincial, et à retirer 300$ au fédéral?!? Je pensais avoir fait une erreur, mais à prime abord, ça ne semble pas être le cas : je n'ai simplement pas payé assez d'impôt provicial. Ça me fait chier, parce que je suis étudiante, mais bon au moins je n'ai pas réellement à cotiser parce que ça se compense...
Sinon dans deux semaines je vais rentrer faire de l'overtime parce qu'ils sont short-staff à ma job : ça va me faire un bon petit montant d'argent... C'est ma semaine de relâche, et comme d'habitude, je la gaspille à travailler. Le directeur du département a demandé aux temps partiels s'ils étaient disponibles pour rentrer travailler (nous sommes la plupart des étudiants) et plusieurs avaient leur semaine de relâche à partir d'aujourd'hui. Beaucoup partaient en voyage ici et là... Moi, je suis tellement habituée de toujours travailler, tout le temps, que la seule pensée de partir, 'comme ça'... Ça ne me traverse même pas l'esprit. Bon, j'ai l'excuse que mon chum n'a que deux semaines de congé et que je ne me verrais pas partir sans lui : est-ce que je me limite dans mes horizons? J'aimerais tellement voyager plus souvent... C'est pas l'argent qui manque. Plutôt les opportunités. Je préfère investir mon temps présent à acquérir de l'expérience et garnir mon CV pour éventuellement avoir un bon emploi, qui justement, pourra potentiellement me permettre d'avoir des belles vacances et de voyager. Est-ce que je fais les choses à l'envers?! Peut-être. Entk, j'ai pas l'impression de profiter trop trop de ma jeunesse.
D'abord en lisant La Presse, j'ai appris que je me suis fait charger des frais que je n'étais supposée payer. Il y a une semaine, le lendemain de la St-Valentin, à cause d'un 'accident', j'ai du prendre la pillule du lendemain ; ne voulant pas attendre à la clinique, je me suis présentée en pharmacie directement pour savoir s'ils pouvaient me la donner sans prescription. J'ai alors appris qu'ils avaient maintenant la possibilité de le faire depuis quelques temps, moyennant des frais de 25$ de consultation. Faisant ma paresseuse, comme on était la fin de semaine, j'ai accepté à contrecoeur de payer les frais, en espérant qu'ils soient remboursés par l'assurance.
Voilà qu'en fin de semaine dans le journal, paraissait dans une rubrique sur les pharmaciens, qui nous informait que la pillule du lendemain pouvait être prescrite en pharmacie depuis 2001, et que depuis décembre 2003 les frais de consultation étaient couverts par la Régie de l'Assurance-Maladie. J'étais vraiment fâchée, d'autant plus qu'on a tellement l'habitude de se faire avoir par les marchands (magasins), qui penserait avoir à faire un recours contre une pharmacie?!
Autre sujet, j'ai fais mes rapports d'impôts ainsi que ceux de mon chum ce soir, et réelle déception. Moi qui m'attendait à retirer plus ou moins 500$, je me retrouve à devoir 250$ au provincial, et à retirer 300$ au fédéral?!? Je pensais avoir fait une erreur, mais à prime abord, ça ne semble pas être le cas : je n'ai simplement pas payé assez d'impôt provicial. Ça me fait chier, parce que je suis étudiante, mais bon au moins je n'ai pas réellement à cotiser parce que ça se compense...
Sinon dans deux semaines je vais rentrer faire de l'overtime parce qu'ils sont short-staff à ma job : ça va me faire un bon petit montant d'argent... C'est ma semaine de relâche, et comme d'habitude, je la gaspille à travailler. Le directeur du département a demandé aux temps partiels s'ils étaient disponibles pour rentrer travailler (nous sommes la plupart des étudiants) et plusieurs avaient leur semaine de relâche à partir d'aujourd'hui. Beaucoup partaient en voyage ici et là... Moi, je suis tellement habituée de toujours travailler, tout le temps, que la seule pensée de partir, 'comme ça'... Ça ne me traverse même pas l'esprit. Bon, j'ai l'excuse que mon chum n'a que deux semaines de congé et que je ne me verrais pas partir sans lui : est-ce que je me limite dans mes horizons? J'aimerais tellement voyager plus souvent... C'est pas l'argent qui manque. Plutôt les opportunités. Je préfère investir mon temps présent à acquérir de l'expérience et garnir mon CV pour éventuellement avoir un bon emploi, qui justement, pourra potentiellement me permettre d'avoir des belles vacances et de voyager. Est-ce que je fais les choses à l'envers?! Peut-être. Entk, j'ai pas l'impression de profiter trop trop de ma jeunesse.